Encore une journée de travail[Pv Kyra] [Pause]

Une journée resplendissante, tout le monde était joyeux et parlez entre eux avec le sourire aux lèvres, la vie était animés et tous semblaient heureux et combler sauf une personne... Moi bien sûr. Comme à mon habitude, j'avais un regard noir naturellement et les gens éviter de passer près de la table à laquelle j'étais installé. Un jolie petit café pas trop cher et calme, les gens ne venaient pas enquiquiner les autres à tout bout de champ et aucun jeunes dans les environs pour briser ma tranquillité. Quelques instants plus tôt, j'avais téléphoné à Kyra qui était toujours au pensionnat pour venir me rejoindre. Le temps qu'elle se prépare et me rejoigne, je pouvais me prélasser au soleil et mourir brulais...Un nouveau travail qui commençait et je patientais en attendant les deux jeunes filles. Les deux ? Oui, Kyra et la jeune cliente, une femme riche qui venait à peine de se marier mais qui avait déjà à faire avec moi pour sa relation qui commençait à l'inquiéter. Pourquoi se marier ou même avoir un compagnons s'il fallait avoir des problèmes tout de suite après ? Finalement, je vis la chevelure blonde de ma camarade. Certaines personnes se retournaient sur son passage, des regards inquiet se dirigé vers elle, elle ne semblait pas amicale et ils avaient raisons. Malgré sa beauté enivrante, elle restait une renarde qui avait pour seul plaisir la drague et faire souffrir autrui. Ce genre de personne me convenait mieux aux petites pimbêches ou encore aux poupées de porcelaines. Il suffirait du moindre geste pour les briser en morceaux et les perdre à tout jamais. Mon regard était posée sur l'élève qui se dirigée vers moi et je la saluais d'un bref hochement de tête avant de reporter mon attention sur mon café pour le porter à mes lèvres.

Il y avait foule aujourd'hui en ville. Pas étonnant car le temps était resplendissant. Les gens avaient envie de sortir, de flaner dans les rues, de se balader gaiement... Pas moi. Je voulais juste rester tranquillement allongée quelque part et dormir. Et pourtant j'étais de sortie. Pourquoi ? La réponse tenait en un seul mot : Kiyo. En effet, alors que je trainassais lacivement dans mon lit, Calinoux enroulé autour de mon corps, prévoyant d'y rester au moins jusqu'à 13h, mon téléphone avait sonné. Je m'étais levée, me grattant la tête en baillant avant d'attraper mon portable et de le coller à mon oreille.

-... Allooo... ?

La voix de Kiyo avait résonnée à mes oreilles. J'avais jeté un coup d'oeil sur son lit tronant en face du mien. Il était vide. Quelle idée de se lever aussi tôt ? Kiyo m'avait alors demandé de le rejoindre expressement à un café en ville sans aucune autre explication, avant de raccrocher sans me laisser le temps d'en placer une. L'idée tentante de lui faire faux-bond et de rester à lézarder avec mon serpent dans mon lit m'avait traversé sournoisement l'esprit. Mais je l'avais vite chassé. Quiconque m'aurait réveillé sans aucune explication de la sorte se serait prit une balle, ou tout du moins mon poing ou mon pied, dans la tête. Mais c'était Kiyo. Et j'éprouvais beaucoup trop de respect pour lui, même si il ne m'en avait jamais donné l'occasion. Il n'était intéressé que par l'argent et le profit, n'avait aucune chaleur humaine et aucune pitié, et n'aurait pas hésité, je pense, à me faire souffrir si ça pouvait avoir un quelconque intéret pour lui. Et il ne le cachait pas. Mais c'était peut-être cette absence de faux-semblants qui m'attirait. Très peu de gens restaient naturels au quotidien. Et même moi, qui n'avais quasiment aucun principe moral, j'appréciais ce coté là de lui. Et donc je m'étais lavée et préparée avant de sortir du pensionnat pour le rejoindre comme convenu au café qu'il m'avait indiqué.

Je marchais donc dans la rue, le pas décidé, mon long manteau de cuir rouge ouvert claquant dans le vent, la mine revèche. Je n'avais pas envie d'être abordée par un crétin et du coup d'être retardée pour voir Kiyo. Donc je faisais ressentir à mon entourage une aura dangereuse, renforcée par les regards noirs que je lançais et mon froncement de sourcils. Bon... C'était peut-être aussi parce que j'étais encore à moitié endormie et que mes yeux n'étaient pas encore habitués à la lumière du soleil... Mais les gens ne le savaient pas et ne pouvaient pas le deviner, sauf peut-être grace à mes cheveux encore en bataille par manque d'inspiration. Et donc on me laissait tranquille et on s'écartait même sur mon passage.

Je baillais discrètement quand j'aperçus mon rendez-vous assis à une table d'un petit café charmant. Les gens évitaient de l'approcher, même si il était tout mignon avec sa mine boudeuse, ses jolis cheveux blonds et ses magnifiques yeux verts. Il faisait peur aux passants, même si la seule envie que j'avais en le voyant c'était de lui ébouriffer les cheveux et de lui pincer les joues comme une vieille grand-mère collante. Il me salua de la tête en me voyant, tout en portant sa tasse de café à ses lèvres pour boire. Je souris gentiment, expression plutôt rare chez moi, et le rejoignis à table, retenant un serveur pour qu'il m'amène un cappuccino. Je m'assis tranquillement et regardai fixement Kiyo. Tous deux assis l'un en face de l'autre, l'air grave, nous devions inquiéter plus encore les passants qui s'écartèrent un peu plus. Le serveur revint et déposa ma commande sans un mot avant de repartir avec empressement. Je bus une gorgée de ma boisson avant de la reposer et de regarder de nouveau mon camarade de classe et colocataire. Je souris avec un air mutin.

-Je peux savoir pourquoi tu m'as réveillé en pleine séance de relaxation et as tellement tenu à ce que je vienne te voir ici dans ce charmant petit café ? Tu avais une irrésistible envie que nous nous retrouvions seuls en dehors du pensionnat ? Que nous prenions un café en évoquant notre relation intime ? Que nous nous regardions langoureusement dans le blanc des yeux ?... Peut-être un hotel par la suite ?

Je haussai malicieusement les sourcils avant de reprendre une gorgée et de me lécher la lèvre supérieure recouverte de crème.

-Ou peut-être... Que tu as encore besoin de moi pour un autre de tes boulots ? Et que je vais de nouveau devoir porter une robe affreuse ? Si c'est ça... Tu me le paieras cher un jour...

Je grimaçai à la pensée de ma dernière mission. J'avais été bien payé mais c'était quand même une expérience plutôt affreuse. Surtout pour au final devoir combattre un gros tigre monstrueux et quelques autres invocations de Kiyo... Enfin, l'argent ne me préoccupait pas plus que ça. J'espérais un jour avoir l'occasion de recevoir un geste d'amour passionné de sa part en récompense de mon dur labeur... Mais l'argent c'était très bien aussi.

Enfin la jeune fille prit place devant moi et je savais d'avance que le nombre de bêtise qu'elle allait me sortir ressemblerait à de puissant sort de magie noir qui achèverait cette belle journée ! Je soupirais en jetant de bref coup d'œil autour de nous pour voir que plus personne n'osait nous approcher avec la nouvelle arrivante. Je ne pu que me satisfaire et remercier Kyra en mon fort intérieur. Je la laissais prendre commande auprès d'un serveur en vérifiant l'heure pour m'assurer d'avoir le temps de discuter avec elle avant que ma cliente n'arrive nous déranger durant quelques unes de mes explications.

-Je peux savoir pourquoi tu m'as réveillé en pleine séance de relaxation et as tellement tenu à ce que je vienne te voir ici dans ce charmant petit café ? Tu avais une irrésistible envie que nous nous retrouvions seuls en dehors du pensionnat ? Que nous prenions un café en évoquant notre relation intime ? Que nous nous regardions langoureusement dans le blanc des yeux ?... Peut-être un hotel par la suite ?

Ce fut cette fois-ci à ma propre personne que je remercier intérieurement pour avoir eu l'idée de ne pas prendre une nouvelle gorgée de la liqueur maintenant... Sinon la scène aurait été évidente, un crachement du liquide sur le beau minois de la blondinette, un étouffement qui m'aurais valu un coté d'autant plus ridicule et une magnifique trace rouge sur la joue représentant la mince silhouette des doigts de ma camarade. Je haussais un sourcil à son attention en la scrutant du regard comme pour lui faire passer un message de dégout. Non, ce n'était pas vraiment vrai, bien sur que la pensionnaire aurait pu me plaire, bien sur que je la trouvais belle mais... Il était hors de question que je l'avoue devant quiconque ! Les femmes coutaient cher et je n'aimais pas gaspiller mon argent pour quelques accessoires qui ne me semblais pas important.

-Ou peut-être... Que tu as encore besoin de moi pour un autre de tes boulots ? Et que je vais de nouveau devoir porter une robe affreuse ? Si c'est ça... Tu me le paieras cher un jour...

Cette fois-ci, sa remarque eu le dons de me décrocher un mince sourire et un petit rire moqueur mais qui disparu presque aussi vite qu'il était arrivé. Goutant de nouveau l'arôme de caféine, je finissais ma tasse puis la déposer délicatement sur la table. Mes coudes s'adossèrent dessus et mes mains se joignirent en elle pour pouvoir poser mon menton dessus. Mon visage était quasi indifférent mais il y avait toujours cette petite lueur dans mon regard d'amusement pour ses dernières paroles. Cette robe, j'avais déjà eu à la porter sauf que moi, je n'avais pas été payé mais je me souvenais encore de la crise de nerf que j'avais eu après l'événement passé. Pourtant, la jeune fille allait être rassurée de savoir que dans le travail que je proposerais cette fois-ci, il n'y avait je pense, que des choses qui pourraient lui plaire.

-Effectivement, c'est pour un travail que je t'ai demandé... Là où nous iront est bien grand qu'un simple hotel je pense... Ma cliente va bientôt nous rejoindre mais laisse moi t'expliquer quelques petites choses avant. Elle s'appelle Marie Swinter, âgée de 23 ans et mariée depuis quelques mois. C'est une nouvelle riche avec son mari mais il semblerait qu'elle ai déjà quelques problèmes de mariage comme par exemple une chose très classique : la tromperie. Elle a fait appelle à mes services et j'ai pensé que tu serais la personne idéal. Tout se passera dans une villa et je suppose que quelqu'un devrait draguer ce gentil monsieur, non pas que je n'ai pas envie de m'y coller à la tache mais je refuse de me travestir pour ce genre de cause et je ne veux pas non plus me coltiner un homo dans le pire des cas ! Tu seras bien payée et je suis sur que tu veux montrer tes talents de séductrice non ?

Je sortais mon portable de la poche pour jeter un regard sur mon portable, la femme était en retard et j'allais devoir lui faire comprendre qu'on ne me faisais pas attendre et Kyra non plus, pas chance, celle-ci ignorait encore à quelle heure la mariée devait arriver. Je me remettais à l'aise dans mon siège et tourné la tête dans une direction en espérant de voir la cliente arrivait mais rien. Mon regard se fit plus noir encore et je soupirais avant de reprendre à l'attention de ma colocataire.

-En retard, je hais ces petits bourges qui pensent qu'ils peuvent faire attendre le monde pour leurs intérêts personnel !

Mais celle que nous attentions fini par pointer le bout de son museau environs un quart d'heure plus tard. Ce fut à ce moment là que le temps semblait s'arrêter pour moi. Je ne voyais plus les gens marcher mais juste cette magnifique créature venir vers nous. D'une taille moyenne, même peut-être légèrement plus petite, une peau de porcelaine, de grand yeux vert avec une chevelure châtain clair aux reflets roux attaché en queue de cheval. Je restais bouche bée devant la poupée que ce déplaçait avec aisance et grâce jusqu'à nous. Elle était tout ce que je détestais et tout ce que j'avais aimé, même lorsqu'elle nous salua je ne bougeais pas d'un pouce et je continuais à l'observer les yeux rond et presque choqué de voir le parfait sosie d'une morte que je pensais avoir oublié. Elle semblait m'avoir posée une question mais je ne l'entendis pas et je fini par secouer la tête pour reprendre conscience de la réalité. Je tendis la main pour serrer la sienne en reprenant la parole.

-Bonjour, je suis Kiyo Uruky la personne à qui vous avez fait appel et voici mon associée Kyra.

je laissais les deux jeunes filles se présenter en tentant de me remettre du choque que m'avais infligée la nouvelle venue.

Il parut tout d'abord choqué par mes propos, puis amusé quand je fis ma remarque sur notre ancien travail. Il laissa échapper un rire bref puis reprit contenance en reprenant un peu de café. Il reposa sa tasse sans aucune hate puis croisa ses mains devant lui, coudes posés sur la table, appuyant son menton entre ses mains. Il avait une expression neutre, seul un petit sourire flottant sur ses lèvres. Il prit la parole.

-Effectivement, c'est pour un travail que je t'ai demandé... Là où nous iront est bien grand qu'un simple hotel je pense... Ma cliente va bientôt nous rejoindre mais laisse moi t'expliquer quelques petites choses avant. Elle s'appelle Marie Swinter, âgée de 23 ans et mariée depuis quelques mois. C'est une nouvelle riche avec son mari mais il semblerait qu'elle ai déjà quelques problèmes de mariage comme par exemple une chose très classique : la tromperie. Elle a fait appelle à mes services et j'ai pensé que tu serais la personne idéal. Tout se passera dans une villa et je suppose que quelqu'un devrait draguer ce gentil monsieur, non pas que je n'ai pas envie de m'y coller à la tache mais je refuse de me travestir pour ce genre de cause et je ne veux pas non plus me coltiner un homo dans le pire des cas ! Tu seras bien payée et je suis sur que tu veux montrer tes talents de séductrice non ?

Un immense sourire se forma sur mes lèvres. Je sentais que cette mission allait être un pur régal ! Séduction, mensonge, tromperie... J'allais baigner dans mon élément. Je pourrais m'amuser comme une folle. Et j'allais peut-être pouvoir m'éxercer un peu. Car je n'avais pas encore eu l'occasion d'utiliser le pouvoir de tentation que je possédais au pensionnat. De plus, c'était encore un pouvoir latent, il ne marchait pas à tous les coups et était accompagné de plusieurs contraintes. Mais le monde plein de rêves et de paillettes dans lequel Kiyo allait nous immerger serait le terrain de jeu idéal pour façonner mon pouvoir. Car même si ces bourgeois de bonne famille possédaient pratiquement tout, la plupart ne révait que de deux choses.

Comme tous les gens riches, le premier désir qu'ils avaient était de faire fructifier leur capital. La deuxième, commune à la plupart des personnes, était la beauté et la reconnaissance. Que ce soit en étant beau, ou en possédant une belle chose, l'humain cherchait à se distinguer des autres en resplendissant toujours plus. Et meme si je n'avais pas d'argent ou d'investissement à proposer, si le mari trompait vraiment sa femme, alors il ne pourrait pas resister à la tentation de posséder une belle jeune fille telle que moi. Car il ne faisait aucun doute que j'étais belle, séduisante et désirable, et qu'un homme normalement constitué ne pouvait pas me dire non à part si il était vraiment fidèle... Et encore, même les plus fidèles pouvaient sombrer dans la débauche... Après tout j'étais une démone... D'ailleurs, si ce n'était pas un travail de Kiyo, je me serais bien amusée à faire en sorte que le mari soit infidèle alors qu'il ne l'était pas au début... Mais je ne savais pas vraiment comment mon coéquipier réagirait si il le découvrait, meme si je pense qu'il se moquerait du moment qu'il avait son argent... On ne savait jamais. Pendant que je me réjouissais, Kiyo s'était installé plus à son aise et scrutait l'heure, puis les passants, cherchant manifestement quelqu'un. Et il commençait apparemment à être vraiment énervé. Il soupira longuement.

-En retard, je hais ces petits bourges qui pensent qu'ils peuvent faire attendre le monde pour leurs intérêts personnel !

Je souris, même si ces gens-là m'horripilaient aussi. Kiyo était toujours aussi raleur. C'était mignon. Je finis mon cappuccino tranquillement et attendis malgré mon impatience légendaire. Mais au bout de 10 minutes je commençais à m'énerver. Et je ne pouvais pas me calmer en jouant avec mes Magnums en public. Je faisais un stacato avec mes ongles sur la table, soupirant ma frustration. 5 minutes plus tard, Kiyo changea soudainement de comportement. Il fixait un point derrière moi avec l'air choqué d'une biche prise dans les phares d'une voiture. Surprise qu'une telle émotion puisse être invoquée par mon Kiyo, je me retournai et cherchai l'objet de sa surprise du regard. Mes yeux tombèrent sur une jolie silhouette qui se dirigeait vers nous d'une démarche pleine de grâce. C'était une sorte de jolie poupée fragile. Plus petite que moi, également plus agée, de magnifiques cheveux aux reflets roux, des yeux d'un vert perçant. Elle était magnifique. Mais je ne comprenais pas pourquoi Kiyo était scotché comme ça. Il y avait plein de femmes plus belles qu'elle, plus resplendissantes. Je me retournai sur lui et le scrutai intensément, cherchant à savoir ce qu'il pensait. Si seulement je savais lire dans les pensées... Mais les pensées de Kiyo me restèrent un mystère. Quand elle arriva devant lui et prit la parole il reprit contenance et lui serra la main. Avait-il eu le coup de foudre ? ...

-Bonjour, je suis Kiyo Uruky la personne à qui vous avez fait appel et voici mon associée Kyra.

Je fixai de nouveau cette Marie Swinter avec un regard noir. Mon instinct de possessivité était extrêmement fort, et c'était mon Kiyo... Pour moi cette femme devenait lentement une concurrente, un ennemi... Un danger. Je me réjouis donc encore plus de savoir que je serais la cause de la déchéance de leur couple. Car si son mari n'était pas infidèle... Peut-être le deviendrait-il bientôt... Je m'en ferais même une joie ! Je me composai un sourire sadique et serrai la main de la jeune femme.

-Enchantée, Madame... Swinter. J'espère que cette colaboration sournoise sera fructueuse...

Je repris ma main et enfouis la paire dans mes poches avant de faire basculer ma chaise, posant mes rangers sur la table sans aucune manière, la tête rejetée en arrière, les cheveux tombant vers le sol. Je souris joyeusement à un jeune garçon qui me regardait fixement et que je voyais à l'envers puis me redressai légèrement avant de fixer notre actuelle et jeune employeur.

-Bon. J'aime pas perdre mon temps. On m'a expliqué à la va-vite. En gros je vais séduire votre mari pour voir si il mord à l'hameçon. Et pour celà... Vous comptez juste me faire entrer dans votre villa comme une fleur ? Parce que ça serait quand même assez suspect... Même un idiot se méfierait. Donc... Je vais devoir faire quoi moi ?

Je répondrais lorsque j'en aurais de nouveau l'envie désolé.