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 Aslan Cortes

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Aslan Cortes

Aslan Cortes


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MessageSujet: Aslan Cortes   Aslan Cortes EmptyMer 19 Fév - 20:55



Cortes Aslan

Carte d'identité


Nom : Cortes

Prénom(s) : Aslan

Âge : 30 ans

Anniversaire : 22 Mai

Sexe : Masculin

Sexualité : Homo refoulé

Nationalité : Américain

Classe : /

Niveau d'étude : /

Club : /

Emploi : Policier(enquêteur)

Pouvoir : Il peut voir ce que les gens sont en réalité. Il peut voir le monde tel qu'il est autour de lui. Les pouvoirs agissant sur le psychologique ne fonctionnent pas sur lui, ainsi que les pouvoirs tel que l'invisibilité. En voyant quelqu'un, il pourra définir s'il est humain ou autre chose.
- Il ne peut pas savoir si on lui ment.
- Il ne peut pas connaitre le passé des gens.
- Même si les pouvoirs qui permettrait de le contrôler ne fonctionne pas, n'importe quel autre pouvoir marche en sa présence.
Aslan Cortes 211


feat : Mookyul Eun

Physique

Assit à la terrasse d'un café, Aslan attirait facilement l'attention. D'une allure droite et masculine, il lisait calmement un petit carnet allongé sur la table devant lui. Ses yeux vert glissèrent sur la papier avec attention, comme si chaque mot écrit dans ce livre représentait une information capitale. L'une de ses mèches sombre plaquée en arrière vint cacher sa vision quelques instants et d'une main distraite, l'agent de police la remit derrière son oreille. Vêtu de noir, dans un costume parfaitement repassé, il était classe et distingué. À son apparence, il ressemblait à un homme de bonne famille, sur de lui et certainement riche. En réalité, il aimait simplement que tout soit en ordre, que tout soit parfait. On ne pouvait pas lui reprocher son côté méticuleux du moment qu'il faisait bien son travail, bien que le perfectionniste pouvait parfois s'avérer agaçant. Il ne remarqua pas le regard de quelques jeunes filles curieuse, même si les apparences pouvaient s'avérer trompeuse, son côté froid et distant était quant à lui, bien existant. Ses longs doigts de pianiste tournèrent l'une des pages tandis que ses yeux s'assombrir. Lorsqu'il releva la tête, se fut pour accueillir un de ses collègues qui s'asseyait en face de lui. Ses traits viril étaient toutefois assez fin et délicat s'il se détendait, malheureusement, l'heure n'était pas à l'amusement, renforçant les traits d'agacement sur son front qui lui étaient si familier. Une voix rauque s'échappa de ses lèvres, résonnant mélodieusement dans le petit jardin du café, mais le son ferme n'était pas si puissant et il se volatilisa avant même que la table de à côté puisse en profiter. Il salua son camarade, plongeant par la même occasion d'une main fugace dans ses cheveux brun sombre pour les remettre convenablement en arrière. Son teint était pâle, comme au naturel et bien que quelques rayons de soleil lui donnait un air plus vivant, il savait que dès les premières lueurs d'été, il devrait se protéger pour ne pas devenir rouge. Les coups de soleil sur son visage n'aurait qu'accentué son impassibilité et lui aurait donné un air "idiot".

Caractère

Aslan échangea quelques mots avec son compères, sans pour autant plonger dans les familiarités et le quotidien. Ils étaient des connaissances professionnel, rien de plus, l'homme ne cherchait pas à se faire des amis ou à sympathiser avec son entourage. On le connaissait sous son côté froid, distant, direct et indélicat, mais aussi pour ses nombreuses enquêtes à succès. Sa méthode de travail était irréprochable, il était sérieux et assidu, une personne en qui on pouvait avoir confiance. En aucun cas, jamais un de ses collègues n'aurait pu éprouver la moindre crainte de confier leur vie entre les mains du policier qui soignait toujours chacune de ses interventions. Certains riaient de son côté maniaque et perfectionniste, d'autres s'amusaient à l'embêter pour sa mauvaise foi et son côté mauvais joueur. En effet, nul n'avait aucun mal à lui trouver des défauts, mais au commissariat, on ne connaissait pas de lui en priorité ses problèmes psychologiques quelque peu encombrant.

Ceux avec qui il travaillait le connaissait pour son grand cœur, bien que ses mots pouvaient parfois être cru et virulent, il restait une personne aimable et à l'écoute, bien que silencieux. C'était par son silence qu'il faisait son jugement, mais en aucun cas il ne se serait permit de remuer un homme brisé par des événements marquant. Son interlocuteur releva les yeux vers lui avec inquiétude, sirotant par la même occasion son café noir. Il connaissait Aslan, il savait qu'il n'était pas méchant et qu'il n'était pas poli par froideur, mais simplement parce qu'il avait grandi dans cette mentalité. Il savait aussi que cet homme si sur de lui et agissant en parfait meneur, capable de guider n'importe lequel de ses camarades dans une affaire, avait de nombreux soucis personnel. À commencer par l'enquête sur laquelle ils travaillaient en ce moment même. Ce n'était pas tout les jours qu'un assassin se mettait à tuer des hommes ayant tous pour portrait la même allure que Aslan. L'adulte en était affecté, parce qu'il détestait voir le malheur des autres, qu'une vie lui file entre les doigts sans qu'il n'ai rien pu faire.

Comme n'importe qui, Aslan a ses démons et il les fuit du mieux qu'il le peut, difficilement. Bien qu'il ne montrait jamais ses émotions, parfois, une lueur affolé brillait dans ses prunelles d'émeraude. À chaque fois qu'il se sent anxieux, il fume et passe une main dans ses cheveux, dès qu'il se sent oppressé, il se mordille la lèvre inférieur. L'agacement se reflète par une main sur son front et sa joie, par un pétillement dans son regard. Le policier soupira en contemplant Aslan, ce qui lui valu un regard interrogateur. Il secoua la tête comme pour le rassurer. Il ne pouvait tout de même pas lui avouer que récemment, il devenait de plus en plus étrange dans son comportement, toujours assailli de doutes, n'importe qui le connaissant l'aurait remarqué. Il s'enfermait souvent seul, chaque jour, ses cernes s'agrandissait, développant des poches de fatigue sous ses yeux et la nicotine n'arrangeait en rien la situation. Mais il était ainsi. Aslan ne se confiait jamais. Jamais.

Histoire

« Peu savent trouver la voie ; ceux qui savent ne la voient pas, les autres ne veulent pas »

Je me souviens de cette phrase... Mon père me la comptait souvent. Il disait que la voie à suivre n'était pas un chemin visible, nos yeux ne peuvent la voir, mais nos pas suivront toujours cette ligne traçait, du moment qu'ils la connaissent. Le questionnement apporte de nouveaux fils sur lesquels marcher, mais nous ne pouvons en emprunter qu'un. Même si nos yeux ne voient pas, ils se perdent devant tant de passages. Seul quelques chanceux trouveront finalement la bonne route, un futur plein d'avenir qui les attends. Mère disait que je faisais parti de ces gens-là, mais aujourd'hui, je doute qu'il soit si facile de trouver sa voie... Lorsque la personne que nous sommes ne peut exister. Je ne peux pas exister ainsi.


Aslan était en face de cet inconnu, caché sous une capuche d'encre, il ne pouvait voir son visage. Il n'avait pas peur, il allait arrêter cet homme. Il s'élança dans sa direction, sortant son arme. Si pour que tout ça s'arrête il fallait qu'il tire sur ce criminel, il le ferait, trop de vies étaient en jeu, trop avaient déjà payées ! Au moment où il dégaina son arme, la pointant sur le visage du malfaiteur, ce dernier disparut dans un éclat, au même instant, le revolver hurla sa balle qui percuta cet étrange miroir. Il ne pu se retourner, car une lame froide vint se poser sur sa gorge et avant qu'il n'ai le temps de faire le moindre geste, le couteau glissa sur sa gorge, mais il ne sentit qu'une légère douleur, pas plus douloureux qu'un picotement. Lorsqu'il se réveilla, il était dans son lit et bien que sa mort ne fut pas si cruel, il poussa un léger cri de surprise. Son cœur se calma rapidement, reprenant un rythme régulier et parfaitement normal. Il sorti de son lit, frissonnant en sentant la fraicheur matinal lécher son dos nu. Il se dirigea tout d'abord dans la salle de bain pour une toilette minutieuse avant de regagner la cuisine, portant une bouteille de lait à ses lèvres pour lapait le liquide à grand gorgée. Après ça, il termina de se préparer et regagne le poste de police.

La journée s'emballa rapidement et Aslan ne se laissa pas déconcentrer la moindre minute, du moins, jusqu'à ce qu'il reçoive un appel. Il se leva subitement, aboyant quelques ordres dans l'empressement à l'un de ses compagnons et ils quittèrent tout deux le commissariat pour aller sur les lieux du crime. Comme d'habitude, la même scène, le même type de personne jonché là, sans vie. Il serra les poings, restant impassible mais fulminant pourtant de rage. C'était un homme de la trentaine, ses cheveux brun foncé étaient humide et poisseux à cause du sang qui coulait sur ses mèches. Ses yeux vert étaient grand ouvert, fixant lamentablement un mur tandis que ses mains étaient attachée par des cordelettes brune. Son visage ressemblait en tout point à celui du policier et l'un de ses camarades lui jeta un coup d'œil inquiet. Il fit mine de n'avoir rien remarqué. Après plusieurs heures, chacun repartirent de son côté et Aslan resta de nouveau seul avec ses incertitudes. Ce n'était pas lui qu'on visait et pourtant, tous, ils lui ressemblait tous. Ces hommes n'avaient rien à voir entre eux à part leur physique plutôt avantageux, après de nombreuses enquêtes, ils avaient découvert aussi que nul ne les connaissait réellement, pas même leur famille.

- Pour ça, faudrait déjà que j'ai une famille.

La tête rejetée en arrière sur le canapé, l'adulte fixait froidement son plafond. Il était exactement comme eux, personne ne savait vraiment qui il était, il ne s'était jamais confié. Sa famille, il n'en avait pas, enfin, il n'en avait plus. Ses parents étaient mort dans un incendie à l'âge de dix-huit ans, bien qu'il avait grandit avec eux, il prit l'habitude de ne plus se confier à personne depuis cette nuit là. Il n'était pas associable, il avait même des amis, mais il était inutile de s'apitoyer sur son sort. Un miaulement l'arracha à ses pensées et il tourna la tête vers une chatte au poil angora, des couleurs proche de celles d'un siamois. L'animal, pas plus grand qu'un chaton sauta sur le canapé, appuyant l'une de ses petites pattes sur la jambe de son maître avant de miauler de nouveau. Ses minuscules yeux bleu semblaient presque aveugle et l'homme ne pu s'empêcher de sourire tendrement devant l'air penaud de sa princesse.

- Allez, viens voir papa ma jolie.

Stupide et pourtant, il était ainsi avec sa petite chérie qui sautilla maladroitement sur sa chemise blanche. Il ne prit pas la peine de se relever pour aller manger, se contentant simplement de la poser sur son épaule en fermant les yeux pour laisser l'assoupissement le gagner. Comme d'habitude, il se retrouva dans ce rêve qui durait depuis des mois, celui dans lequel il rencontrait son agresseur. Ils cherchaient cet homme depuis si longtemps... Il ne se contentait pas que de tuer, au départ, il s'en était prit à des prostitués, puis à des hommes plus banal les uns que les autres, les violant, les torturant. On retrouvait diverses marques sur leur corps, proche à celle que les sadomasochiste se faisaient entre eux. Pour une fois, la version du songe se modela pour devenir une version deux... Une version qu'il aurait préférait ne jamais connaitre.

Mes yeux s'ouvrirent, mes paupières me semblait lourde mais après maintes efforts, je pu regarder ce qui m'entourait. J'étais dans une pièce sombre à l'odeur de renfermé. La seule lumière que l'ont pourrait voir avait une teinte rougeâtre, m'empêchant de voir distinctement le reste de la chambre. Il apparut. Un homme se tenait là, fier, l'air imposant, mais pourtant, il m'étais incapable de voir ce qui se cachait au dessus de son torse. Comme si mes yeux refusait de découvrir son identité, je serrais les dents en me redressant. En vain. Avec incompréhension, je relevais les yeux, découvrant des cordes liant sadiquement mes poignets à l'entête du lit. Je serrais une nouvelle fois les dents, reportant mon attention sur cet odieux personnage, l'injuriant de tout les noms tandis qu'à pas de velours, la bête se rapprocha. Avec stupeur, je me crispais, le regardant lentement s'effeuiller, mais la dégout que j'aurais du ressentir n'était pas aussi forte que ce que j'avais espérer. Il lâcha quelques mots incompréhensible, sa voix suave caressant mes tympans, faisant frémir mon corps dénudé sans aucune impudence. Le cuir d'une ceinture vint mordre ma peau et je lâchais un cri de douleur, me tordant de douleur, du moins, si je l'avais pu. Ainsi exposer à sa vu, ma virilité ne prit guère de temps avant de réagir. Ce qui s'ensuivit par la suite me fit monter le rouge aux joues. Chacun de ses coups se révélait délicieusement enivrant et douloureux. Quand bien même les larmes ne cessaient de couler sur mon visage, mon corps tout entier s'embrassait à petit feu et appréciait cette bestialité qu'on lui offrait, ma tête elle, refusait l'assaut. Lorsqu'enfin la torture prit fin, l'agresseur leva une arme dont j'ignorais l'existence et me poignarda en pleine poitrine, relevant le couteau pour recommencer, s'acharnant sur ma chair jusqu'à ce que ma peau se colore d'un rouge écarlate.

Aslan se réveilla en sursaut, poussant un cri plus puissant que celui de la veille. Pour la première fois, ses rêves étaient autre qu'un simple meurtre. De grosses gouttes de sueur perlaient sur son front, d'autres traçaient la courbe de sa nuque pour s'éclipser le long de son dos. Ce ne fut pas la seule chose qu'il remarqua. À ses pieds, le chaton le dévisageait de ses yeux bleu, comme si elle savait, qu'elle connaissait la vérité. Rapidement, il prit conscience de l'humidité au creux de ses cuisses et avec dégout, il plaqua une main sur ses lèvres, découvrant avec stupeur l'état dans lequel l'avait plongé son rêve. Ce n'était pas un rêve érotique, mais bien un rêve où il se faisait torturer, violer, puis tuer. Les yeux bleu de sa princesse lui sembla cette fois-ci plus sombre, plus accusateur, comme s'ils essayaient de l'accabler du crime qu'il venait de commettre. Il se crispa. Non. Il ne pouvait pas avoir jouit sur cet gestes morbide.

« Quand la peur frappe à la porte, la vérité s'enfuit par la fenêtre »

Mère s'amusait à dire ce genre de chose en parlant de père, lorsqu'il devait annoncer une mauvaise nouvelle et que chaque jour, il reportait le discours au lendemain. Elle savait toujours ce qu'il lui cachait et finissait toujours également par lui jouer un mauvais tour, riant par la suite d'une voix angélique. Je n'ai jamais réellement eu peur, ou rarement. Le jour où j'ai eu ce rêve, j'ai pour la première fois senti une terrible angoisse. Lorsque mes parents sont morts, je n'ai pas eu peur, c'était une évidence, rien ne pourrait les ramener, de quoi aurais-je alors eu peur ? Cette phrase ma foi... Est bien la vérité, mais chaque chose a une exception. Bien que j'avais peur, aucune vérité ne s'est enfuit, je n'avais rien à me cacher. Ce rêve ne signifie et ne signifiera jamais rien.


Après cet événement, Aslan continua, chaque nuit, à être hanté par ce terrible mensonge. Il devait chaque jour plus troublé, plus angoissé, cherchant vainement à comprendre ce que cette mascarade signifiait. Il lui était totalement impossible de croiser le regard de son chat, car elle, elle savait ce qu'il se passait. Les choses continuèrent ainsi, se dégradant au fil du temps tandis que l'enquête trainait de plus en plus. Jusqu'au jour où un suspect se fit arrêter. Le policier, accompagné d'un de ses collègues, le reçurent dans l'une des pièces, l'accusant de ces nombreuses crimes. Il ne parla pas, se contentant simplement de contempler l'homme aux cheveux brun avec intérêt. Finalement, un sourire carnassier vint se dessiner sur ses lèvres, faisant grimacer de dégout Aslan. C'était ce visage qui l'avait touché en rêve, ses lèvres qui l'avait mordu... Ses mains qui lui avait arraché la vie à mainte reprises.

- Vous auriez pu être le prochain.


Aslan se figea sur place, foudroyant du regard le criminel. Son camarade jeta un coup d'œil à son compère, cherchant un moyen de l'apaiser. Ce fut avec soulagement qu'il détourna la tête pour regarder le détenu, sachant que l'homme aux yeux vert ne ferait rien pour le moment.

- Vous avouez donc être l'assassin ?

Il ignora le policier, s'adressant une nouvelle fois à Aslan.

- Ce doit être dur de fuir ce que vous êtes... J'aurais pu vous aider vous aussi, à vous sentir mieux.

Le policier grinça des dents sans répondre, devenant à chaque secondes plus lugubre. Il le sentait, il n'aurait pu dire comment il le savait, mais ils étaient pareil. Ils n'étaient pas humains, tout les deux. James, son acolyte reprit une nouvelle fois la situation en main en essayant de calmer le jeu, s'apprêtant presque à emporter avec lui le brun.

- Je ne les ai pas tués, je les ai délivré. Tout comme j'aurais pu le faire avec vous. Laissez moi vous aider inspecteur... Je pourrais vous emmener là où nul ne l'a encore fait... Je pourrais satisfaire vos vices les plus secrets, comme les leurs. Ils étaient si bêtes, incapable d'accepter ce désir qui les dévorait, je leur ai offert la plus belle expérience de leur vie... Voilà tout.

James ignora les propos provocateurs du détenu, murmurant silencieusement à Aslan d'en faire de même, de ne pas rentrer dans son jeu. Beaucoup avait déjà tenté de jouer avec la colère de l'homme, il n'en avait jamais été affecté. Sauf cette fois-ci. D'une voix sifflante et grondante, il souffla par le nez, ses yeux vert perçant les yeux marron de son interlocuteur.

- Je jure de vous envoyer en prison pour le restant de vos jours, espèce de dégénéré... Vous n'êtes qu'un sale petit enfoiré, vous devriez subir la même chose qu'eux...!


Brusquement, il se mit à rire avant de se redresser brusquement, se jetant presque sur la table malgré ses menottes. Ses lèvres se portèrent au niveau du visage de Aslan et son sourire se fit plus menaçant encore.

- Mais qui est le dégénéré ici inspecteur... Celui qui fait, ou celui qui en rêve chaque nuit jusqu'à salir son lit ?

Aslan ne put se retenir et brusquement, il envoya son poing dans le visage de l'homme. La porte s'ouvrit dans un fracas, venant l'intercepter avant qu'il ne réduise en miette le détenu. Lorsqu'il reprit pleinement conscience de ses sens, il regarda avec dégout le visage ensanglanté de sa victime, mais qui pour une raison inconnu, continuait de sourire, riant lorsque le policier fut sorti de la pièce. Au fond, ils savaient tout les deux qu'il avait raison, mais Aslan ne pouvait l'accepter. Il fit alors la seule chose qui lui restait : feindre l'ignorance et vouer une haine aux gens aimant la violence.

C'est moi !

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Isaac Carter
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MessageSujet: Re: Aslan Cortes   Aslan Cortes EmptyMar 25 Fév - 19:52

Je te valide homme effrayant ! °o°
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Kiyo Uruky
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Kiyo Uruky


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MessageSujet: Re: Aslan Cortes   Aslan Cortes EmptyMar 25 Fév - 19:53

C'pas un homme effrayant ! è3é
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Samaël Sullivan
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MessageSujet: Re: Aslan Cortes   Aslan Cortes EmptyMar 25 Fév - 20:37

Ye te valide wesh !
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Isaac Carter
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MessageSujet: Re: Aslan Cortes   Aslan Cortes EmptyMar 25 Fév - 22:17

Un peu un peu D8
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