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 Matt Elywere

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Matt Elywere
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Matt Elywere


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MessageSujet: Matt Elywere   Matt Elywere EmptyJeu 21 Nov - 20:56



Elywere & Matt

Carte d'identité


Nom : Elywere

Prénom(s) : Matt

Âge : 26 ans

Anniversaire : 6 Aout

Sexe : Masculin

Sexualité : Homosexuel

Nationalité : Américain

Emploi : Employé de gestion dans un magasin d'alcool

Pouvoir : Transformation en peluche

- Sous une émotion trop forte, il se transforme
- S'il se transforme en peluche volante, il ne pourra pas voler
- Selon l'humeur qui le maitrise, il devient une certaine peluche
Matt Elywere 110


feat : Dino Cavallone

Physique

► Cheveux : Blond
► Yeux : D'un magnifique or liquide
► Teint : D'un pâle basique, il n'a aucune difficulté à bronzer lorsqu'il s'expose au soleil.
► Taille : 1m81
► Poids : 73 kilos et du muscle
► Style vestimentaire : Son style vestimentaire peut réellement varier... À la base, Matt était un homme qui appréciait tout particulièrement le côté punk de son adolescence rebelle, cependant... Depuis sa nouvelle vie, il s'habille assez sobrement, portant même des lunettes pour se donner un aspect plus amical. Le reste du temps quand il ne fait pas bonne figure ? C'est un homme aux jeans délavé, s'ornant de chaine et ramenant parfois sa chevelure en arrière avec un sourire carnassier.
► Autre détails : Matt possède un long tatouage, dévorant la base de son cou jusqu'à s'étirer jusque sur le début d'une de ses fesses, il représente des flammes. Il possède un autre tatouage sur le bras, Baracca écrit entre les lignes du tatouage. Bien qu'il porte des boucle d'oreilles discrète, il a les oreilles percées.

Caractère

L'homme présent face à vous, vous contemplant d'un large sourire sympathique cache au fond de lui une personnalité qu'aucun de ses collègues ne lui connaitrait. Matt sourit, est serviable et gentil, toujours le mot pour rire mais ce qu'on remarque surtout chez lui... C'est son côté maladroit. Trébuchant parfois sur une pierre plus que fourbe, ses lunettes glissant sur son nez avant de se redresser avec un sourire innocent. On le connait pas sa sensibilité et son écoute mais au fond... Il ne parle jamais de lui, c'est un homme très discret et pour cause.

La description qui vient de vous être fait de ce jeune homme est totalement erroné. Si ses collègues le voit ainsi, il s'avère en réalité que le blondinet est un homme perçant, un sourire carnassier aux lèvres tandis qu'il parcourt du regard la foule pour savoir qui sera sa prochaine proie. Il aime la drague et ne supporte pas les sentiments mielleux tel que l'amour, tout ça, c'est que des conneries. Un poison. Matt est un adulte fier au tempérament impulsif et imprévisible. Il ouvre sa gueule, ça, il le fait bien, même pour dire des choses qu'il regrettera immédiatement parfois, mais pas question de se défiler. Il n'est pas un lâche, le courage chez lui est peut-être même un défaut, car il refuse de tourner le dos à son attaquant. Plus que tout chez lui, c'est un sado dans l'âme, il aime rabaisser face à lui ses conquêtes mais après l'acte, s'il fut brutal et vulgaire, il devient d'une extrême douceur, capable de se blottir dans les bras de son compagnon de contentement. Le garçon ne parle jamais de son passé, pour rien au monde. L'injustice est une chose qu'il déteste et bien que l'amour n'est pour lui qu'une bêtise, il connait l'importance de ce sentiment chez les gens et refuse de jouer avec. Bien qu'il soit dynamique, il s'avère être secret et assez discret, évitant de trop attirer l'attention par son comportement de charmeur. Il reste une personne intelligente qui sait lorsqu'il doit restait en retrait... Du moment qu'on ne le provoque pas bien sur.

Histoire

Cette histoire débute durant un automne frisqué, lorsque la pluie venait refroidir la saison des vents. Cette histoire débute sur un monstre à la minuscule apparence d'une peluche, pas plus haut qu'un bambin de deux ans... Son corps d'un jolie brun noisette et d'une couleur proche du crème s'entre croisant dans diverse rayure. Mon histoire commence ce jour où celle qui m'a mit au monde a refermé la porte en hurlant au démon... Mais laissez moi la raconter du début.

C'était une fille sans histoire, une lycéenne comme une autre qui rêvait d'aventure, du prince qui viendrait la tirer de cette vie anodine pour l'emporter loin de tout ça, dans des rêves de princesse encore enfantin. C'est à cette époque qu'elle rencontra Brandon, un homme comme on les décrit dans les romans, ce genre d'homme à la fier allure, aux cheveux blond comme le blé et les yeux bleu comme le ciel. C'était le prince idéal, l'apollon de l'établissement qui n'avait d'yeux que pour la belle demoiselle qui se laissa charmer. Ils eurent très vite un enfant, dès qu'il termina le lycée plus précisément, quant à elle, il lui restait une longue année avant d'atteindre la remise des diplômes. Elle n'attendit pas. Quoi de plus beau qu'une magnifique fin heureuse, celui du prince qui emmène sa dulcinée loin du malheur et de la pauvreté, pourquoi aurait-elle refusée de tout abandonner pour lui, elle qui ne pensait que comme une collégienne plongée dans ses romans ? Peut-être que si elle avait attendu, elle se serait souvenu que le monde n'est pas une histoire de fée. Que les contes, ça n'existe que dans les bouquins que nous lisent nos parents. Elle ne comprit pas ce qui se passa lorsqu'il parti, le jeu était fini, voilà tout. Elle se retrouva donc avec cet enfant de quatre ans sur les bras, mais la gentille et belle demoiselle ne sut supporter le poids de la trahison, ainsi que celui de l'abandon. Elle perdit pied, oubliant l'existence de sa progéniture et il grandit seul, sans amour. Parfois, on voit des gosses rentrer seul chez eux à la fois de l'après midi, le petit blondinet en faisait parti. Lorsqu'on lui demandait à l'école ce qu'il voudrait à Noël, l'enfant répondait rêveur d'un air enfantin :

« Je ne veux qu'un papa et une maman. »

On lui répondait parfois d'une caresse sur la tête, d'autres évitait simplement de le regarder et allait directement voir ses petits camarades. Matt rentrait alors seul chez lui et entendait de drôle de bruit dans sa chambre. Lorsque la porte s'ouvrait, il ne devait pas être à côté ou il se ferait frapper par les drôles de bonhomme qui la laissait sur le lit. S'il s'approchait d'elle, elle le chasserait d'un mouvement de main comme elle le faisait toujours. Dans cette maison, il y avait constamment une épaisse fumée blanche, et celle qui autrefois avait des rêves d'adolescente se mettait à rire, les yeux exorbité. On dit que Dieu est bon, mais qu'une fois un martyre choisi, il fera de sa vie la pire qu'il existe. Peut-être a-t-il choisi le petit comme une de ses victimes. Il lui offrit un don, et dès que l'enfant se métamorphosa, il fut chassé au jardin. C'est là que commence notre histoire, ou plutôt, où nous revenons. D'une forme d'un animal inconnu, ses longues oreilles en arrière, la peluche regardait sa mère de ses grand yeux noir, incapable de fermer les deux boutons qui la scruté sous la pluie. Elle referma la porte dans quelques mots désarticulé, lui arrachant les derniers rayons de lumière. Son corps devint lourd, son poil devint poisseux de la boue du jardin et il rampa jusque sous une fenêtre. Il y resta de longues heures, de longs jours à attendre et lorsqu'il fut sec, il grimpa sur le rebord pour regarder par la fenêtre. Dépourvu de bouche, il contemplait de ses deux boutons noir ce qui devait être une cuisine à l'origine. De temps à autre, elle jetait par la fenêtre des reste, il se retransformait alors quand il y arrivait pour se jeter sur les reste salit par la terre, dévorant de ses bras squelettique le pain rassi. Il aurait pu effrayé n'importe qui, mais nul ne le voyait et lorsqu'on vint le rechercher...

Lorsqu'on vint le rechercher, il regarda de ses yeux d'or les hommes vêtu de noir, il contempla leurs sourire à lui glacer les os... Mais il sourit à son tour, parce que quelqu'un lui prêtait de l'attention. Mais lorsqu'il comprit ce qu'on lui faisait, il pleura, il hurla, il tendit ses paumes noir vers sa mère tandis qu'on riait de le voir se démener ainsi. Elle le regardait sans expression, obéissant aux ordres, brulant parfois son enfant de sa cigarette. Ceux qui se nommait les bienfaiteur le soulager en se soulageant sur lui, riant aux éclats en voyant le petit garçon recroquevillé qui essayé de sécher les gouttes jaunâtre sur son visage. Puis vint le moment où il gouta à cet étrange cigarette que sa mère payait avec difficulté, il s'étouffait, toussait, mais à chaque fois qu'il refusait, on la lui enfoncer entre les lèvres après l'avoir frappé. Ce fut la vie de ce martyre, rejeté pour son sang, souillé par la cruauté humaine, et tout ça pour quoi ? Parce qu'une femme avait cru à l'amour, y avait cru comme si il existait.

14 Mai 2011

Avachi sur le fauteuil, mes mains caressaient les courbes de la tigresse, un sourire fauve sur mes lèvres. J'adorais ces moments où j'étais le maître, celui qui dominé, celui à qui on obéissait en redemandant d'être frappé.

« Allez Matt, dégage cette pétasse, j'vais gerber. »

La jeune femme se tourna vers le garçon en lui lançant un regard noir, se relevant en quittant mes genoux. De sa fierté féminine, elle dévisagea son ventre légèrement dodu.

« Il a quoi le porc ? »
« Ferme ta gueule ou je te l'explose contre un mur salope. »

Je riais d'amusement, me relevant en allant chercher les habites éparpillés un peu partout pour me rhabiller. Cet homme au vocabulaire peu recherché, c'est Jonathan, mon meilleur ami. Lui et moi, on étaient inséparable alors qu'il vienne gratter chez moi sans prévenir n'avait rien de surprenant. Tandis que je me penchais pour attraper un T-shirt, je me pris un violent coup de bassin sur le cul, tombant presque par terre avant de me redresser pour taper dans son ventre. Il n'était pas gros, il avait simplement eu un petit surpoids à cause de toute cette bouffe avec laquelle il s'engraissait.

« Comment elles peuvent craquer pour un enfoiré comme toi ? »
« Surement parce que moi j'ai pas le gras qui pend hors de mon haut. »

Ouais, j'étais un connard, on étaient tout les deux des connards l'un envers l'autre en fait. On se cogna encore quelques instant avant de sortir de l'appartement. Il était venu me chercher pour qu'on aille à la Fac ensemble, bien sur, je ne comptais pas moisir indéfiniment dans ce lieu crasseux rempli de profs, je comptais bien obtenir mon année et me barrer. Sur le chemin, nous bavardions, de temps à autre, Jonathan lançait un regard répugnant aux filles des environs, les faisant grimacer avant de tourner les talons, quant à moi, ça me faisais rire. Toute cette merde me faisais rire, voir des corps totalement défoncé par l'alcool et la drogue, voir ces connes se frotter contre des bites comme si elles étaient irrésistible. Ma seule envie dans ces moments là, les enchainer et leurs rappeler leur place et quelle merde elles étaient. Nous nous asseyons finalement dans l'amphithéâtre, loin derrière. Je n'avais aucun besoin d'être extrêmement attentif, j'avais toujours été intelligent et je finissais toujours par me débrouiller. Encore une fois, je laissais le brun s'assoir à côté de moi, suscitant immédiatement des ragots entre les filles quelques rangs plus haut. Je l'entendis soupirer.

« Fait chier, pourquoi faut que j'me tape une rumeur de pédale avec toi ? »
« Bah... C'est parce que ça fait tellement longtemps que t'as pas baisé une meuf qu'on commence à se demander » Je tournais les yeux vers lui, un sourire moqueur sur le visage « Mais t'en fais pas, moi je l'aime bien ton gros bide. »

Avant qu'il n'ai le temps de me rabrouer d'un coup de poing sur la tête, Kevin et Joseph vinrent s'assoir juste devant, se tournant vers nous. Je remarquais sans aucun mal les yeux explosé du faux juif.

« Alors les bites, vous voulez vous peloter le cul ou msieur le prince et son gros se ramène à la fête ce soir ? »

Jonathan lui répondait d'un "je t'emmerde connard" tout en lui faisant un magnifique doigt d'honneur tandis que je levais les yeux au ciel. C'était une question totalement stupide, je me ramenais toujours aux fêtes, finir une soirée la tête dans le cul en ayant tout oublié des événements récent... Il y avait rien de meilleur. Tout oublier, c'était ce que j'aimais, ces connards de psys auraient sorti leur grande science en prétextant un traumatisme, pour moi, ils étaient juste coincé du cul et savaient pas s'amuser comme il fallait. Des filles gloussèrent derrière eux et les deux nouveaux venu relevèrent la tête avant de rire, échangeant quelques trucs avec mon complice pendant que je divaguais dans mes pensées. J'avais commencé cette vie de débauché dès mes quatorze ans mais j'en étais parfaitement satisfais, j'aimais ça. J'aimais perdre la notion du temps, perdre la notion du corps contre moi. Mon regard se fit plus terne et je tournais la tête pour fixer un point. J'étais heureux alors... Je me demandais encore parfois pourquoi je me sentis si vide... Si mort... Si je ne baisais pas, si je ne me défonçais pas... J'étais qu'une coquille vide et parfois, je me demandais juste à quoi ça servait de vivre. Je détestais ma mère, je ne lui parlais plus depuis de nombreuses années. Pour moi, elle aussi était morte, et c'était qu'une pute nymphomane.

« Hé mec, sort ta tête de ton cul et répond putain d'enfoiré de nègre ! »

Je tournais la tête vers lui, le dévisageant avec incompréhension. Mes potes étaient spécial ou plutôt, ils avaient quelques tendance raciste. On avaient des roches noir, des arabes, mais ils continuaient d'être des enfoirés avec eux, mais moi... J'en avais rien à foutre, ils étaient des mecs comme des autres, j'allais pas m'arrêter de leurs parler parce que monsieur était né noir ou madame était asiatique.

« Je viens de te dire que je pariais un macdo que vous étiez pas capable de vous embrasser. »

Je regardais Jonathan et ce dernier me zieuta à son tour avant qu'on pouffe de rire.

« Tu déconne là ? »
« T'inquiète, je savais que t'avais pas les couilles mon pote ! »

Je haussais les sourcils face à sa provoc. Ouais, c'était un truc que je détestais la provocation, j'étais incapable de résister à l'envie de leurs prouver le contraire... Et mon meilleur ami était pareil. Alors je le laissais sortir son fric qu'il posa sur la table devant nous avant qu'il ne me chope par le T-shirt. Je me tournais à mon tour vers lui, passant ma main derrière son crâne pour me rapprocher de lui. Nous nous embrassâmes en ignorant les filles derrière nous, écoutant simplement le cri de victoire de nos deux camarades qui nous inciter à faire plus. Nos regards se croisèrent et dans un sourire félin, je pénétrais sauvagement ses lèvres de ma langue, caressant la sienne avec passion en l'écrasant presque contre le dossier derrière nous. Lorsqu'il prit fin, nous regardions avec triomphe et malice les deux hommes.

« J'vous paye deux macdo à chacun putain, sale pédés ! »

Nous recommençâmes à rire en parlant de tout et de rien, mais ce qui est sur, c'est que je ne me souviens pas d'un traitre mot de ce que racontait le prof. Lorsque les cours prirent fin, nous sortions tous ensemble... Puis vint cet appel. J'ai décroché sur un coup de tête sans même regarder de qui il s'agissait. Puis j'entendis cette étrange nouvelle qui me semblait improbable.

« Votre mère est décédée. »

Je restais de marbre, écoutant jusqu'à la fin avant de raccrocher. Je ne sais pas ce qui interpella mon camarade, mais il se tourna vers moi en haussant un sourcil. Je lui répondis tout simplement que la vieille était morte et me remis en marche.

« Ça fera une pute de moins. »

Je n'étais pas énervé qu'il parle d'elle ainsi, ça me faisais du bien d'entendre des gens l'insulter... Mais je ne parti pas à la fête avec eux, je rentrais plutôt chez moi.

Puis quelques mois après, je m'envolais pour New York voir la famille. Découvrant ces visages inconnu que je n'avais encore jamais vu. Ils étaient beaux, riche, soigneux. J'étais le seul bouseux avec sa chemise sans manche et son jeans troué accompagné de grosse Dock. Mes chaines leurs faisaient horreur et ils me regardèrent avec des yeux écarquillés. Ils dévisagèrent mes tatouages parfaitement visible, refusant de regarder cette coupe de cheveux qui se résumé à un côté quasi rasé tandis que les cheveux se faisaient plus long du côté droit. Pour moi, c'étaient eux qui étaient anormaux et je les écoutèrent cracher leur venin sur ma mère, sur mon père. Je fis attention à quelque uns de leurs propos homophobe et racistes, mais aussi à leur vision du monde parfait. Ils disaient vouloir m'envoyer voir des psys, me soigner par des méthodes radical tel que l'enfermement provisoire ou encore, l'électrocution. J'avais déjà entendu de ce "remède" miracle contre les gays, dès qu'ils bandaient pour un mec, ils se prenaient une décharge jusqu'à ce que leur corps soit traumatisé. J'ai découvert l'horreur de cette famille... Et j'ai compris. J'ai fais demi tour, les ignorant en repartant avant d'insulter celui que ma mère avait un jour appelait "père". Ils étaient tous tarés, si le monde parfait était ainsi, il n'était pas pour moi. Je suis rentré chez moi et je suis parti après avoir fais mes adieux à Jonathan, lui promettant de garder contact avec lui.

Voici comment s'achève cette histoire, dans la prise de conscience. J'ai compris ce jour-là que ceux que je devais haïr, ce n'était pas ma mère, mais ces gens qui avaient rient en apprenant que celle qu'ils avaient chérit avait crevé, dévoré par la drogue qu'elle consommait. J'ai changé, j'ai arrêté de boire, j'ai arrêté d'être ce petit con de première. Je ne devins pas mieux hélas, parce que l'amour est un poison auquel je ne fais pas confiance, je n'ai jamais ressentis le quelconque besoin d'aimer, ni même d'être aimé. Cette histoire est terminé, mais si quelqu'un vous demandait de la raconter, dîtes lui que c'est un secret.

C'est moi !

Matt Elywere 210
Prénom ou Pseudonyme : Kiki

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Samaël Sullivan
Croque-Mort
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MessageSujet: Re: Matt Elywere   Matt Elywere EmptyDim 9 Fév - 19:44

Je te valide beau gosse !
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Alan West
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Alan West


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MessageSujet: Re: Matt Elywere   Matt Elywere EmptyMar 11 Fév - 18:04

Moi aussi j'te valide ! (kiki, j'adore tes histoires..)
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Matt Elywere
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Matt Elywere


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MessageSujet: Re: Matt Elywere   Matt Elywere EmptyMer 12 Fév - 17:51

Merci, merci, je sais /PAF

Tout ce que je fais est parfait /REPAF

Merci O/
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MessageSujet: Re: Matt Elywere   Matt Elywere Empty

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