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 Gabriel Elder

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Gabriel Elder
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Gabriel Elder


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Pouvoir: Porteur d'enfant
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MessageSujet: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:12



Elder Gabriel

Gabriel Elder 181360prez
 

Informations

Nom Complet :: Gabriel Elder
Surnom :: Gaby
Âge :: 25 ans
Date de Naissance ::  14 Octobre
Nationalité ::  Anglaise
Orientation Sexuel ::  Homosexuel
Métier ::  Participe à des concours de roller
Pouvoir ::  Porteur d'enfant
- Il faut obligatoirement lui faire une césarienne pour qu'il accouche.
- Il y a de forte chance pour que son enfant meurt dès sa naissance.
- Les moyens de contraceptions tel que la pilule n'ont aucune efficacité sur lui.
- Il a... Ses règles ! Quatre jours par mois...

Derrière l'écran

Comment a-tu découvert le forum ::  Avec ton cul '-'
Tes disponibilités ::  3/7
A-tu lu le règlement,
si oui la preuve ::
 Validé par Kyky la crevette ~ (Ouais du favo !!! Et alors ? DD8<)

Physique
» Cheveux : Châtain(avec une mèche plus foncé, durant son déguisement, il les a brun)
» Yeux : vert
» Teint : la peau pâle
» Taille : 1m72
» Poids : 60 kilos
» Style vestimentaire : Dans sa vie de tout les jours, on pourrait le confondre avec un jeune dégénéré, toujours avec un bonnet sur la tête, des écouteurs dans les oreilles, des lunettes plutôt particulière ainsi que ses rollers et sa grosse veste ! Mais en vérité, il ressemble à un garçon au style légèrement punk.
» Autre détails : Il porte un anneau sur l'oreille droite ainsi qu'une ribambelle de bijou, bien sur, lorsqu'il se fait passer pour "Gaby", il ne porte que peu d'accessoire de ce style.
Caractère
Tout d'abord, je suis ce qu'on pourrait appeler un bipolaire, mais rassurez-vous, c'est totalement faux. Les gens sont bêtes, ils croient tout ce qu'ils voient mais parfois, la vérité est ailleurs. Je sais ce que je suis, je suis simplement devenu acteur dans la plus grosse pièce de théâtre qui existe : la vie. Combien de personne vous disent qu'ils vont bien ? La réalité est parfois bien loin de leur beau discoure. Ce commentaire n'est absolument pas dépressif ! Je ne le suis pas ! Je suis juste réaliste. Ce monde n'est pas parfait, il n'est pas fabuleux, mais même dans les pires moments, on peut encore tirer une partie de joie et d'avenir. Pourtant, cet avenir est fragile et si vous n'en prenez pas soin, il finira par se craqueler.

Je suis dans mon cas, un étrange spécimen, plutôt amusé par la vie et ses événements inattendu, je ne réfléchis pas au futur mais seulement au présent. Certaines personnes disent que je ne réfléchis pas assez, mon point de vu ? Je profite simplement du présent, chose que bien des gens oublie de nos jours. Pourquoi se détruire sur des suppositions qui n'auront peut-être jamais lieu ? Alors je me contente de profiter, de vivre ce qui arrive et non pas un futur qu'on ne peut connaitre. Je ne suis pas sérieux, et je suis flemmard. Ouais je sais, c'est pas cool, mais je le vis bien et j'emmerde ceux qui ne sont pas content. Je vis pour moi, et pour moi seul. On ne pourra jamais contrôler ma vie. Si je devais être un défaut... Je serais la curiosité, et si j'étais une qualité, ce serait aussi la curiosité. Tout simplement parce que l'on dit souvent que la curiosité est un vilain défaut, mais je pense que sans curiosité, on ne peut pas arriver à grand chose.

Je n'aime pas me dévoiler et je pense que ce ne serait pas amusant si je vous racontais ma personnalité alors... Disons que je garde une part de mystère et que seul ceux que je juge digne de confiance pourront voir qui je suis, et ce que je suis réellement.

Histoire
Ma vie a prit fin le 13 Mai 1994, à mes 6 ans. Ma famille était le genre de personne haut placé, des bourgeois avec un père PDG et une mère qui passait ses journées à faire les magasins. Une famille parfaite en apparence, on nous enviait. Nous étions tous beaux et gracieux et moi, j'étais juste un gosse paumé qui réclamé de l'attention mais qui n'obtenait en retour, que celle des bonnes. J'étais con putain, ça me fais bien marrer ! Brave petit chiot qui restait silencieux en faisant mine que ça ne l'atteignait pas et qui restait parfait. Père avait des amis, c'est ce que je croyais. M. Nicols était bon et doux, c'est pourquoi, lorsqu'il me proposa des sucreries, je ne les ai pas refusais, et ma curiosité fut plus encore attisé lorsque l'adulte me promis une chose que je n'oublierais jamais, la meilleur des sucreries. Je l'ai suivis. Et je suis mort. Parce que je l'ai laissé faire, sans comprendre ce qu'il se passait, cette douleur qui me transpercé de part en part me semblais irréelle, j'étais simplement incapable de comprendre. Cette délicieuse torture dura un an avant que je ne me décide à l'avouer à père. J'ai pleuré ce jour-là, ce fut la seule fois. Ce serait mentir que de dire que bien plus tard, je n'allais pas pleurer, si j'avais su ce qui m'attendais, je me serais peut-être pendu immédiatement. Mais je ne regrette rien. Et si j'avais le choix, je voudrais que rien ne change, sinon, je ne serais plus ce que je suis aujourd'hui. Est-ce de la prétention que de dire que je m'aime ? Possible. Mais au moins, je suis franc. Je n'oublierais jamais la réaction de mes parents. Lorsque père m'a demandé si j'en avais parlé à quelqu'un d'autre que lui, j'ai vu du soulagement dans ses yeux lorsque ma tête fit signe que non. Il a posé ses mains sur mes épaules, me secouant doucement, à genoux devant moi en me regardant droit dans les yeux. Pourtant, mon regard lui, se languissait sur le dos de ses mains qui me semblais rassurante, et l'énergie qu'il dépensé pour me bouger me donnais l'impression qu'il allait me soutenir. Moi, son unique fils.

- Ne le dis à personne, sinon notre famille sera couverte de honte.

Alors j'ai remonté mes yeux d'enfant le long de ses bras, jusque sur son visage, troublé par cette froideur... Mais qu'étais-je à ses yeux ? Avec un ultime espoir, c'est vers Mère que j'ai tourné la tête, la suppliant du regard et tandis qu'elle hocha la tête pour me faire comprendre que je devais écouter le côté paternel, mon visage lui, se défigura. J'étais seul. Je l'avais toujours été. J'ai souris, en hochant la tête, je leur ai souris, mais mes yeux eux, ne souriaient pas. C'est ce jour-là que je me suis juré d'attendre avant de me venger, parce qu'un jour, je serais assez puissant pour ne plus avoir besoin de compter sur quiconque. Plus je grandissais, plus je foutais ma merde. Bordel ! Si vous aviez vu leurs gueules ! Je me pisserais bien dessus en y repensant ! leur visage déconfis, arborant une expression imprégné de haine, les rendant plus laid chaque jours. C'était compliqué, parce qu'ils étaient chiant et ils ont commencés à engager des "gardes" pour me surveiller. Alors je volais, je les draguais, je me faisais baiser, je menais ma vie quoi ! Dès mes douze ans, j'ai commencé à me prostituer, sous une apparence androgyne, j'étais sexy et attirant, aucun homme ne me résisté, et surtout pas avec le cul que j'avais ! Ils auraient pu me lécher les pieds pour le pilonner ! Enfin, je montrais ça, mais en vérité, j'étais qu'une merde perdu, comme tout les ados. Je chialais de temps en temps dans un parc lorsque j'échappai à la vigilance des mecs en costard lunette de soleil à la Men in black !

Ce qui a changé ma vie, c'est un homme, un peu con, un flic, enfin, c'est ce que je croyais. Il m'a chopé pendant que je volais, mais il ne m'a pas arrêté, il s'est contenté de me sermonner, faut dire qu'un môme de quatorze ans, ça risque pas grand chose. On ne pouvait pas l'oublier, c'est le genre d'homme qu'une fois que vous voyez, il reste gravé dans votre mémoire. Ses yeux, deux prunelles d'un bleu profond qui me toisais avec autorité, ses cheveux d'un noir de jais, plaqué en arrière lui donnait un air plus sérieux encore. Il était beau, magnifique, mais c'était qu'un vieux con pour moi. Il a commencé à me harceler, à chaque fois que je faisais une connerie, il était derrière, me choppant à chacune de mes gaffes, me poursuivant lorsque je défiais les lois. J'ai fini par m'habituer à sa présence, et lorsque je ne le voyais pas pendant plusieurs jours, je finissais par m'ennuyer. Je possédais un étrange don, de pouvoir imiter n'importe quel mouvement, j'étais comme un mime et bien que je m'étais toujours amusé avec ça en suivant les gens dans la rue, ce jeu me semblais maintenant morne. Alors je faisais encore plus de connerie, simplement pour qu'il reste à mes côtés, qu'il me remarque. Mais je ne peux oublier son visage décomposé lorsqu'il me vit dans une ruelle, me faire prendre par un client habituel. Pour la première fois, j'ai ressentis la honte et ma poitrine se compressa, je suffoquais, plus son regard parcourait nos corps, plus je sentais une douleur lancinante me déchirer le cœur.

Nous ne nous somme plus revu après ça. Je m'en voulais. Mais il n'était plus là, j'avais beau voler, il n'était plus là pour me sermonner. Pff, ouais, j'ai pleuré à ce moment-là, parce que je pensais l'avoir perdu. Et je faisais encore plus de merde, si bien qu'un jour, je me suis fais renversé par une voiture, poussé par un mec cinglé qui était persuadé que nous étions fait l'un pour l'autre. Dans mon malheur, il eut une part de bonheur. Parce que Sydney est revenu à moi, je pensais qu'il allait simplement m'engueuler, mais cet adulte profondément ancré dans ses principes à la con a jeté son masque, se jetant à mon chevet pour me serrer contre lui. J'avais été étreint de nombreuse fois, mais j'avais l'impression que c'était la première fois. Une douce chaleur a envahit ma poitrine, si bien que j'ai fini par me loger moi même contre son torse pour écouter les battements de son cœur. J'avais presque seize ans, si les gens avaient su que nous nous aimions, il n'y aurait pas eu que la honte d'être homosexuel pour Sydney, mais surtout cette histoire de pédophilie. Pourtant, je l'aimais et il m'aimait. Je n'ai pas attendu ma majorité pardi, bien que que nous avons baisés ! Dès ma sortie de l'hôpital, je suis allé chez lui et pendant qu'il jetait mes vêtements au sol, je m'agrippais à son cou en dévorant ses lèvres, le bousculant sur son lit pour ne faire plus qu'un avec lui. Lorsque je me suis réveillé, j'étais dans ses bras, dans les bras de l'homme que j'aimais. Il fut le seul et même aujourd'hui, il est le seul que j'ai aimé.

Le temps a passé, nous avons fêtés nos annives ensemble, mais toutes mes conneries passées me suivait, c'est alors que j'ai emprunté cette identité de "Gaby". Comme le voulait mon compagnon, j'ai commencé à me déguiser, j'ai changé ma personnalité, pour vivre comme je le voulais, et personne ne me reconnaissais. Qui aurait cru que ce gros pacha de Gaby, qui passait son temps à courir partout et à faire du roller en riant aux éclats était le même que Gabriel, cet apollon sexy qui se faisait des manucures en remuant les fesses devant de gros calibres ? Puis vint cette connerie vers mes dix-sept ans, je pensais juste tout haut, trouvant mon dons à chier quand même. Dans un soupire, j'ai prononce ces mots :

- Ce serait cool si j'avais un autre pouvoir que celui-ci.

Une gamine est alors arrivée derrière moi, les bras croisés en arrière en souriant. Ses long cheveux blanc étaient relâchés, cachant une partie de son visage, elle ressemblait à un ange.

- Très bien, dans ce cas je vais réalisé ton vœu ! Si tu ne veux plus mimer, alors tu auras un autre pouvoir !

Sans crier gare, elle a posé sa main sur ma tête avant de disparaitre dans un courant d'air, faisant voler les feuilles morte aux alentour et m'obligeant à fermer les yeux Lorsque je les ai rouvert, plus rien.

Ce ne fut que quelques mois plus tard que je compris réellement ce qui se passé. J'ai longuement cherché mon pouvoir, sans succès, jusqu'à ce que je me mette à grossir sans aucune raison, et pour me taquiner, mes potes blaguèrent en sortant des conneries du genre "T'es peut-être enceinte !". Je riais avec eux, jusqu'à ce que je découvre que ce n'était pas une blague. J'ai commencé à vomir, et en faisant une échographie, je l'ai entendu. Ce battement de cœur qui continue de taper, cette image laissant entrevoir un enfant... Cinq mois, ça faisait cinq mois que j'avais ce gosse. Ma grossesse fut extrêmement difficile mais tout ce passa dans le plus grand silence, jusqu'au jour où j'ai accouché. Mes parents m'ont rejetés, me traitant de monstre et de déchet, et pendant ce temps, dans mes mains, il y avait une vie. Un petit garçon, et c'était moi qui l'avais mis au monde. J'aurais pu sourire, mais mon visage était comme figé. Lorsque Sydney arriva à l'hôpital, il se figea à son tour, il n'avait certainement pas cru toute cette mascarade comme quoi j'attendais un enfant. Comme quoi j'attendais son enfant. Il n'est pas parti, il est resté, il a prit le bambin dans ses mains, souriant timidement avant de relever les yeux vers moi. Nous décidâmes de l'appeler Daniel. J'avais dix-sept ans, à cet âge, on est qu'un ado, un gosse immature. J'ai fais mon maximum mais au bout de cinq mois, je ne pus continuer, abandonnant l'enfant à son père et ce dernier ne m'arrêta pas, jugeant certainement inutile d'essayer de me convaincre de rester. Et bien qu'il me jura de m'attendre, je ne voulais plus revenir. Sydney fut le seul homme de ma vie, malgré les relations qui s'enchainés les unes après les autres, je ne pus l'oublier.

Ce fut deux ans après, encore une fois, je donnais naissance à un enfant mais cette fois-ci, le père prit la fuite en apprenant la nouvelle tandis que sa "mère", se contenta de lui donner naissance avant de disparaitre. J'étais monstrueux, j'aurais pu laisser à cet enfant n'importe quoi, l'embrasser avant de l'abandonner. En y repensant, ce que je dis ce jour-là, fut tout simplement ignoble.

- Racontez ce que vous voulez à cet enfant de sa mère, qu'elle soit une femme pleine de bonté ou une pute qui faisait les trottoirs, faites ce que vous voulez.

En regardant le nourrisson, je lui jetais un regard dédaigneux, de répugnance. Je ne pouvais pas être la mère, ce n'était pas possible.

- Mais ce n'est pas mon enfant.

J'ai disparu sans laissé de trace, quittant simplement cet enfant qui aurait certainement de nombreux chagrins dans le futur.

J'ai fini par reprendre mon boulot de prostitué, n'arrivant plus à survivre autrement. Parfois, je me dégotais un petit boulot de serveur, mais je quittais toujours mon emploie, vadrouillant ailleurs, cherchant ce que je voulais vraiment faire. C'est vers mes vingt-deux ans que j'ai réellement muri. Ces enfants... Mes enfants, je voulais les voir, je voulais les retrouver. Mais je ne le pouvais. Où est-ce qu'ils étaient ? Comment est-ce que j'aurais pu le savoir ? Sydney. Lui, je pouvais le retrouver. C'était peut-être une connerie mais du jour au lendemain, je pris l'avion, partant en Californie dans l'espoir de voir mon fils. À la sortie des cours, je vis cet enfant, ce petit garçon à peine âgé de cinq ans qui attendait son père. Hésitant, je me suis approché de lui, je ne pourrais dire comment il a fait, mais dès qu'il me vit, il comprit qui j'étais. Je ne pourrais pas dire avec conviction que j'en étais persuadé, mais il avança vers moi, comme s'il savait. Je me suis accroupis, tremblotant, sentant la nausée monter dû au stress. Mes lèvres s'entrouvèrent à peine lorsque je prononçais pour la première fois que j'étais la mère de cet enfant "C'est maman..." c'était irréelle, sorti tout droit d'un film de science-fiction et pourtant... C'était possible... Je le pris doucement dans mes bras sentant les larmes monter, je n'avais pas pleuré depuis longtemps, mais cette fois-ci, je le fis. Je ne le vis pas longtemps, dix minutes, tout au plus, mais rien que le voir me comblé. Avant que Sydney n'arrive, je repartis d'où je venais, décidant que je devais reprendre ma vie en main et me voilà aujourd'hui à Blackrose, la ville des rêves où même les choses les plus incroyable se produise.

© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:16

Yolooo jeune femme enceinte '-' j'te valide parce que t'as pas à faire la fil d'attente dans ton... état '-'

Mais chinon pour moi tout est bon tout est ok et puis... Je vois rien à redire quoi -w- J'adore toujours tes persos mon Kiki ♥ Tchaaaooooo !!

(Plus qu'un avis !!)
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:17

Merci, merci, tu me prêteras tes tampons dis ? J'suis une véritable cascade quand j'ai mes règles -w-
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:21

Je te valide e_e.

*mode Caleb bien froid*
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:23

... Non '-' demmerde toi je fais pas la charité D8

Caleb... *soupire* De la douceur de la douceur... *hypocrite*
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder EmptyDim 22 Sep - 21:24

C'pas grave mon chou, j'vais te décoincer du sphincter moi Gabriel Elder 701049760 
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MessageSujet: Re: Gabriel Elder   Gabriel Elder Empty

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